Vendre en Corée du Sud et au Japon

Nouvelle formation

Le marché de l’habillement en Corée du Sud a été estimé à 32 milliards d'euros en 2022.
L’apparence et l’image occupent une place centrale, autant dans la vie privée que dans la vie professionnelle. Les consommateurs sont ainsi très exigeants et demandeurs de services efficaces et d'innovations.
En 2022, la vague d’influence de la culture coréenne prend une place importante dans la mode, notamment au travers les Fashion Weeks. Les boutiques "offline" représentent le réseau traditionnel pour effectuer des achats, même si les sites e-commerce continuent à attirer les consommateurs depuis la pandémie.
L’engouement pour le luxe reste encore très élevé et, selon "Morgan Stanley", les dépenses de consommation par habitant en produits de luxe s'élèvent en moyenne à 300 euros en Corée, plaçant le pays en tête du classement mondial en 2022.

Les consommatrices japonaises disposent de l’un des pouvoirs d’achat les plus élevés au niveau mondial.
La France particulièrement apprécié des acheteurs japonais, est le deuxième fournisseur du Japon.
L’accord Union Européenne - Japon qui est entré en vigueur le 1er février 2019, réduit ou supprime les droits de douane pour certains produits.Tendances et évolutions.

• Les consommateurs japonais recherchent les nouveautés et maintiennent un niveau de dépenses élevées pour leur garde-robe.
• Le concept "éthique et durable" est très apprécié. Les matières recyclés ou fabriqués dans l’environnement "étique" sont favorablement utilisées pour les produits, packaging, décoration des magasins, etc.
• Les vêtements fonctionnels sont appréciés : chauffants en hiver et respirants en été, ils doivent allier design et confort.
• Croissance importante de la part des ventes sur internet, magasins spécialisés et select shops. Décroissance dans les canaux plus classique tels que grands magasins.